Le plus grand mécontentement parmi les enseignants est que, bien que les syndicats aient gagné des procès à travers tout le pays pour la récupération de l’argent résultant d’un paiement intentionnellement erroné aux enseignants, le gouvernement social-démocrate actuel ne permet pas l’exécution des décisions de justice.

Comme l’ancien gouvernement néolibéral (PDL) qui a reporté le paiement des décisions de Justice, le gouvernement actuel, par ordonnance gouvernementale, a prolongé de cinq ans le paiement des montants de pénalité que l’État Roumain doit payer aux enseignants (2018-2022).

Le 2 octobre 2017, ont eu lieu des manifestations de protestation des organisations affiliées à FSLI.

Dans la nouvelle Loi sur la Paye Unique, le secteur de l’éducation occupe le dernier niveau de salaire.

Les augmentations salariales promises aux enseignants par le gouvernement actuel ont été abandonnées.

Lors des récentes manifestations en Roumanie, organisées contre le changement des lois de la Justice par le pouvoir politique actuel, ont également assisté les autres membres du syndicat des professeurs.

En conclusion, nous pouvons dire que l’État de droit en Roumanie fonctionne comme une application des principes du « droit en tranches ».

A ce moment-ci, le ministre de l’Education Nationale est M. Liviu Marian Pop qui jusqu’en 2012 était secrétaire général de FSLI.

Correspondance d’Adrian Voica, vice-président de la FSLI, membre du Bureau du CSFEF